Le perfectionniste devient parfois plus parfait mais toujours plus coupable.
Les ressentiments non formulés se transforment en colère.
Les appréciations n’ont formulées se transforment en sentimentalité.
Si vous n’obtenez pas ce que vous voulez avec quelqu’un (collègue, partenaire, enfant) changer le comportement.
On récolte se qu’on « s’aime ».
Il est plus difficile de ne pas être heurté par les autres, que de ne pas heurter les autres. (Sivananda).
Si vous continuez à faire ce que vous avez toujours fait, vous obtiendrez toujours le même résultat.
Il n’y a pas d’erreur, il n’y a que des apprentissages : transformer vos erreurs en apprentissages.
Si vous faites une gaffe ou une erreur, ou bien vous vous sentez responsable et vous réparez, ou bien vous vous sentez coupable et ça suffit.
Il n’y a pas de vent favorable si vous ne savez pas où vous voulez aller.
Un névrosé utilise son potentiel pour manipuler les autres au lieu de devenir adulte et de prendre la responsabilité de sa vie (Perls).
Dans la névrose, la personne donne la priorité au passé sur le présent, à l’ailleurs sur l’ici et maintenant. Il ramène les conflits du passé dans la relation présente.
Le « juste milieu », c’est là où je me trouve.
A force de vouloir être normal, on devient normosé.
Quand l’enfant obtient tout ce qu’il désire, il apprend à compter sur les autres. Plus tard, il devra apprendre à manipuler les autres pour obtenir d’eux ce qu’il attend. Sans frustration, il n’y a pas de croissance. (Perls)
Dans un conflit de couple, les deux sont souvent d’accord sur un point : c’est à cause de l’autre que ça ne marche pas.
Dans une relation créatrice, chacun est capable de faire le pas suivant quand l’autre est prêt.
Le « névrosé » a peur d’épuiser son lot de plaisirs sans payer son tribut de devoirs (Janov).
L’individu normal peut accepter son âge parce qu’il vit dans le présent et a conscience d’avoir vécu sa jeunesse. Il n’essaie pas quotidiennement de récupérer quelque chose qu’il a perdu des dizaines d’années auparavant. Il n’est ni excessivement préoccupé de l’avenir, ni continuellement tourné vers le passé parce qu’il ne vit pas un roman qui n’existe pas (Janov).
Les thérapies sont une lecture de l’humain et un chemin vers plus d’humanité, avec un risque cependant d’enfermement dans un système. Chaque thérapie n’est qu’une lecture de la réalité, n’est qu’un chemin parmi d’autres pour en sortir, et peut devenir un piège si vous vous y enfermez.
La fille soumise (qu’est-ce que mon père veut de moi) devient souvent une femme objet, centrée sur l’autre, qui ne s’aime guère et qui se dit : « Qu’est-ce que cet homme veut avec moi »
La fille aimée devient souvent, une femme sujet, autocentrée, qui s’aime et qui se dit : « Qu’est-ce que je veux avec cet homme ».
Le mariage est parfois « une appellation contrôlée » de l’amour. Il peut être aussi une « concession à perpétuité ».Ou bien une société d’investissement mutuel a responsabilité partagée.
Le vent est un adversaire ou un allié : « transformer le vent adverse en allié » (Aïkido).
Réfléchissez au lieu de poser des questions.
Parlez quand vous avez quelque chose à dire.
Soyez passionné, vous deviendrez passionnant.
Créer ce que vous cherchez.
Au lieu de reprocher aux parents ce qu’ils ont fait de vous, regardez ce que vous avez fait avec ce qu’ils ont fait de vous.
Soyez responsables et vous serez moins coupables.
Quand j’ai été écouté et entendu, je deviens capable de percevoir d’un oeil nouveau mon monde intérieur et d’aller de l’avant (Carl Rogers).
La beauté est dans les yeux de celui qui regarde (proverbe arabe).
Personne ne peut vous faire du mal si vous ne le décidez pas (Bouddha).
Si votre enfant ment, ou bien il a peur de vous, ou bien il vous imite (AS Neill).
Je pense donc je suis (Pascal).
Je sens donc je vis.
Quand je ne pense pas, je suis (Lacan).

Les phrases dont il n’est fait aucune mention de l’auteur sont en grande partie du Dr André Moreaux, psychothérapeute, psychiatre.